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Témoignages

Nous avons eu la chance de rencontrer certains de ces habitants.

Ils nous ont parlé de leurs souvenirs d’enfance et nous aimerions vous en partager quelques uns au travers de vidéos.

“La tradition est égale à la transmission.” Il est important de se souvenir et de voir fleurir à nouveau ce quartier comme à son Âge d’or.

Merci, pour tous vos témoignages.

 

Interview M. Joseph Barresi

Joseph Barresi, ancien boulanger de la Rue de Trans dans les années 70.

Interview Mme. Fattori

Mme Fattori nous parle de la BUGADE, des Bassins et des Lavoirs de son époque.

Interview M. Patrick Kouyoumidjian

Habitant du quartier, il partage avec nous des anecdotes historiques et son amour pour la Provence.

Interview M. Charlie Clairici

Charlie Clairici nous décrit la rue de Trans, comme il l’a connu, dans les années 60.

Interview M. Djimerdjan

Fils de Cordonnier Arménien, il nous raconte son enfance à la Place aux Herbes.

Interview M. Fattori

Retrouvez toute la mémoire d’autrefois au Musée des Arts et Traditions Populaires, créé par M. Fattori.

“Je suis né au 33, il y avait aussi l’aiguiseur Provido, le tapissier DEPIERRE mon oncle et le resto la fourmi …
La rue était un village à elle seule. Le laitier qui rinçait les bidons de lait en alu à la fontaine à 6 heures du matin…
C’était notre histoire…”

Louis Marsiglia

“La rue de mon enfance. Je suis le fils du boulanger, j’adorais aller chez jeannine, la vendeuse de bonbons qui était à côté de Boza, le magasin de chaussures.
Il y avait également Victor le coiffeur et l’épicerie aux légumes. C’était comme un village.”

Jean-françois Barresi

Elle se souvient: “Et dans ma jeunesse encore plus! Les chaussures Boza, Janine pour les bonbons, un autre magasin aussi qui faisait les toiles cirées, les rideaux et d’autres encore…”

 

Genevieve Pedrassi-Léon

“Le couscous de chez Sala ! mythique!”

Valerie Blanc

“Chez Janine la marchande de bonbons.” 

Nadia Collombet

“Les bonbons et les cornets surprises !”

Stéphane Cambe

“ Djizmejian (ou Bozabalian ?)qui faisait des tropéziennes sur mesure dans les années 60

Valérie Blanc et Djinderedjian, la boutique Singer, pelotes de laine et machines à coudre

 

Valérie Blanc

“Pastouret le tripier, Bellon Le boucher, Alberti l’épicerie, Botello le fromage, Bagarry la boulangère .

Ainsi que Nanette Caiffa place des tonneliers marie Turini etc …

Quel beau temps… la rue la plus commerçante de Draguignan. L’amitié des habitants, c’était une grande famille, on a vécu une belle jeunesse saine dans ce quartier.”

Marinette Paulet

“Sans oublier le tripier, la marchande de poisson. Le bric à brac où l’on trouvait de tout pour la couture, la dame était si gentille!”

Viviane Tahraoui

“Mon grand-père avait le salon de coiffure… Victor Fiorentini.”

 

Eric Mél

“J’y ai habité au N° 25, il y a… pfff…une cinquantaine ! La rue n’était pas piétonne et très fréquentée…vivante…ça manque.”

Marie-Giz Moha

“Je suis née N°39 rue de trans, mon grand père, Cheissiere, était balancier. Que de beaux souvenirs.”

Arlette Perier

Actuellement sculpteur rue de Trans, au N°42.

“En 1966,  scolarisé à l’école Ferrié, la rue de Trans était le lieu de rendez-vous entre lycéens garçons et filles. Le jeudi (anciennement le jour de repos du milieu de semaine). Les histoires finissaient souvent dans une boite de nuit appelée “le dragon”, toujours dans cette rue…”

Philippe Rossi

“ Il régnait dans les vieux quartiers un sentiment de liberté et de fraternité totale, tout le monde se connaissait plus ou moins. La vie n’était pas facile car pour la très grande majorité des gens qui y habitaient, n’étaient pas des gens aisés financièrement, mais nous, nous étions très heureux et fiers de notre quartier. Il faisait bon vivre dans cet endroit dans les années 70 -80. “

Omar Paillon beauté

“Je suis née à Draguignan en 1959. J’ai habité au N°34 de 1962 jusqu’en 1975.

Mes parents et mon grand-père avaient leur atelier jusqu’en 1981.

Moi, j’ai ouvert un petit restaurant au N°24 en 2017, mais peine perdue…dommage.”

Myriam Wery Atanasyan

Un hachoir qui a découpé des kgs d’oignons. Mr Provido avait son atelier rue de Trans. Je me souviens de la forge, des coups de marteau qui résonnaient. C’était le temps où tout était fabriqué par les artisans du quartier.

“La tradition est égale à la transmission.” Il est important de se souvenir et de voir fleurir à nouveau ce  quartier comme à son Âge d’or.

Pour Jean-françois Barresi , Charles Clarici,  Patrick Kouyoumidjian, Viviane Tahraoui

Arlette Perier, Nadia Collombet , Valerie Blanc,  leurs familles et bien d’autres…

 

Merci aux habitants, pour tous vos témoignages!

Et vous? Avez-vous des anecdotes à nous raconter?