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N°8

Atelier JDA

8 Rue des Marchands

Activité

Décoration d’intérieur

Description

L’atelier JDA est un concept store de décoration d’intérieur où vous retrouverez toutes les collections de lampes et suspensions du créateur designer jean DANGE ainsi que des objets uniques chinés un peu partout dans le monde.

La boutique atelier JDA est ouverte du mardi au samedi de 10h30 à 18h30 sans interruption.

Contactez l’artisan

E mail  : jdafrance83@gmail.com

Tél : 09 82 24 40 06

Site Web : http://www.atelierjda.fr

N°8 Mercerie chez “Titine” soeurs “Imbert” 

Ici se trouvait la petite boutique chez titine, magasin aux multiples merveilles, brillantes, colorées, toujours utiles, des boutons, du fil, des aiguilles, mètres rubans, cuirs, étoffes, laine, passementerie …

Des conseils et des indications sur les mesures en couture, très utiles à la confection des projets, surtout à une époque où principalement tout était “fait maison”.

Un ensemble de petits objets plutôt destinés à la réalisation de vêtements ou de linges de maison.

Chez titine on trouvait tout cela!

*Bibi : le bibi désigne dans les années 1970 un petit chapeau féminin sans bord. Et par extension, tout chapeau de dame.

Maison Clavel

Tanneur et cordonnier.

Le tanneur cordonnier (sabaterius) crée et réalise des chaussures grâce à un patrimoine technique comprenant savoir-faire, tours de main et connaissance du cuir. Cette fabrication, qui requiert plus de 150 opérations, se caractérise par la réalisation d’un objet en volume à partir de pièces à plat.

Ambroise Pascal-Mercadier, dont la famille possédait déjà le N°4, fut ici tanneur-cordonnier et nommé 2ème consul en 1517.

Son fils, Honorat Pascal-Mercadier, bien que marchand, fut 1er consul en 1552. 

Au XIXe siècle, François-Victor Meissonnier s’enrichit avec une agence de remplacement militaire (la loi de 1832 permettait de racheter un “mauvais” tirage au sort). 

Est-ce que l’ancien sous-officier du 1er Empire avait ramené de ses campagnes d’Espagne,  le goût des balcons de façade? Il fut le premier de la ville à  en décorer la façade de sa maison, mais il n’en reste plus de nos jours. 

Jean-Baptiste-Emmanuel Meissonnier, né en 1818, ayant fait Polytechnique, et l’École des Mines, devint Inspecteur général et président de société métallurgique. Il fut à l’origine de l’exploitation de la bauxite varoise.

Sources: Fréderic Mireur, ” les rues de Draguignan et leurs maisons historiques”, Institut national des métiers d’art.