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N°38

Les Pot’iront

n° 38 rue de trans, 83300 Draguignan

Activité

“Les Pot’iront” est une coopérative participative située à Draguignan.

Description

Le projet né en 2018 à Draguignan de la rencontre entre un groupe d’amis, partageant des valeurs communes, désireux de changer leurs manières de consommer. Ils décident alors de fonder une coopérative participative “les Pot’iront ” qui  appartient à ses membres. Dans la foulée, l’association “les amis des potes” est créée pour soutenir la coop.

En juin 2020, les 2 boutiques de Draguignan et Fréjus, gérées par les membres, ouvrent leurs portes avec les moyens du bord. Elles proposent des produits bios, en circuit court. Les adhérents participent aux fonctionnements : permanences, commandes, mises en rayon, ménages, administrations, etc.

La coop soutient les producteurs locaux en les rencontrant  puis en achetant leurs produits au juste prix.

Chaque coopérateur participe aux décisions.

Les Pot’iront Draguignan et Fréjus sont des lieux de vie collaboratifs, gérés par les adhérents, acteurs et décisionnaires.

Ce projet citoyen, c’est le désir de créer des lieux conviviaux, de partager et de rencontrer pour sensibiliser à la transition écologique et valoriser l’économie locale et solidaire.

Contacter l’artisan

Tél : 06 23 09 32 70 / 06 86 38 07 57

E-mail :  lespotiront83@gmail.com

Facebook :www.facebook.com

Épicerie Rossi

Ici était l’emplacement de l’épicerie Rossi. Une époque où les centres commerciaux n’existaient pas, ces petits établissements étaient les lieux principaux pour y trouver le nécessaire alimentaire.

On prenait plaisir à choisir ses produits, souvent issus du circuit court.

Plus tard, le local fut occupé par les établissements “Belgrano”.

Maison Fauchat

Au XVIème siècle, le notaire Pierre Pélissier vend sa maison à Antoine du Puget de Figanières. Ce dernier s’enrôle dans l’armée. En campagne contre les impériaux dans le Piémont en 1553 , il obtient le grade de capitaine. En 1590, à Draguignan, Il joue un rôle militaire lors de l’occupation de la ville par la ligue catholique.

Au début du XVIIIe siècle, ce fut l’avocat Claude-Joseph Geofroy et son épouse Catherine de Castillon, fille du procureur qui s’installent dans cette demeure. Claude-Joseph Geofroy, élu 1er consul en 1726 et prêchant à Paris pour une diminution de charges d’impôts qui, à l’époque, accablent Draguignan.
Il eut douze enfants, sept filles et cinq garçons, dont certains deviennent militaires.

Dom Albergatti, chartreux et prieur à La Verne puis Général de l’Ordre. Il s’enfuit de la Grande Chartreuse avec tous ses religieux en emportant les archives et allèrent à pied jusqu’à Rome .

Anne Drag Victoire, Sœur Marie saint Bruno, Bernardine religieuses.
Cette dernière, qui refusa de quitter son cloître sous la révolution, fut traînée, la corde au cou, entre deux gendarmes jusqu’à Toulon.
Quant à François-Henri Louis de Geofroy (1822-1899), ministre, la tradition diplomatique rapporte qu’il fut le premier homme à ne pas s’être agenouillé devant l’empereur de Chine.

Sources:  Frédéric Mireur, “Les rues de Draguignan et leurs maisons historiques”